vendredi 23 janvier 2009


BONSOIRRRRR......


C'est à la lumière faiblarde d'un candélabre que j'écris à la plume doigt (euh, d'oie, pardon) ces quelques lignes qui resteront, j'en suis sûr , figées dans l'éternité des siècles (n'ayez pas peur, ne vous sauvez pas de ce blog, rassurez-vous, je n'écris pas toujours mes posts de manière aussi sépulcrale).

J'adore la toile, mon ancestral manoir écossais en est d'ailleurs rempli...

Mais passons à l'essentiel, la raison d'être de ce nouveau blog...

Soyez mes invités et dépoussièrons ensemble ces monuments respectueux et tant convoités que l'on appelle des films.

Je suis très bon public, me régalant de même plaisir d'un FULCI que d'un Fisher.

Vos sens aiguisés ont déjà remarqué ce que votre hôte doit avouer: son coeur pieu (merci VAN HELSING) a succubé (euh, pardon à nouveau, succombé) depuis des lustres et des candélabres aux plaisirs du cinéma fantastique et du cinéma de genre.

Mais je puis vous assurer que tout genre cinématographique y sera honoré comme il se doit.


Esquimaux, bonbons, chocolats.


Cette salle de cinéma est la vôtre, venez y quand vous voulez, et ensemble, réécrivons l'histoire de l'analyse cinématographique!!!


YRREIHT

8 commentaires:

  1. Bienvenue sur la blogosphère, cher Yrreiht !... Quel superbe cadeau d'anniversaire vous m'offrez là !... Le vestibule de votre demeure est déjà fort confortable, mais que cela ne vous empêche pas de nous ouvrir d'autres pièces ! Vite, vite !...
    Amitiés éternelles de BB.
    (PS : En bonne vieille cancanière, j'ai déjà transmis la nouvelle sur FEARS...)

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  2. Bienvenue Yrreih, ça promet d'être passionnant ;))

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  3. BBJane vous transmet le message de FUGITIVE, qui a dit :

    "Ah ! Enfin, enfin, mon cher Yrreith ! Comptez-moi parmi vos fidèles... J'adore me perdre dans les labyrinthes de la mémoire imaginative..."

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  4. Chère BB,

    Vous êtes en toute logique ( comme dirai SPOCK)la première personne à pénétrer dans cette salle de cinéma style "Dernière séance"...

    Comme les places y sont réservées et numérotées comme toute salle d'antan, je vous ai attribuèe une place de choix, la n° 83, chiffre symbolique s'il en fût car celà nous renvoie conjointement au musée d'un certain sculpteur de cire chez qui nos âmes cinéphiliques errent à jamais, car elles savent bien que l'absolu s'y trouve.

    Surveillez néanmoins la plaquette numérotée de votre siège, il se peut qu'un esprit malicieux ne la retourne comme dans "La Grande Vadrouille" et ne la transforme en 38 (tiens, c'est étrange, ce numéro là m'évoque aussi quelque chose de précis qui vous concerne!!!)

    C'est aussi avec vive émotion et reconnaissance sans fin que je vous remercie pour vos encouragements sur ce blog et le vôtre...

    Votre évocation d'ONCLE FORRY m'honore, car elle me renvoie à 30 années de passion cinéphilique jouissivement entretenue au quotidien en votre amicale et fraternelle compagnie: nous sommes, mon cher vieil ami, des FRODON et SAM cinéphiles, dont l'anneau sacré n'est pas lourd à porter et ne doit pas être jeté dans le feu de la Montagne du Destin, mais dont la quête est absolue et ne finira jamais.
    Merci encore du fond du coeur.

    A Deef, bienvenue également à vous, nul doute que nos goûts communs entre autres pour la science-fiction et le fantastique sont autant de promesses de passionnants échanges d'idées en la matière... Félicitations pour votre Blog, STARFLEET l'a trouvé si passionnant qu'il a décidé d'y envoyer le vaisseau Enterprise pour de régulières reconnaissances...

    A Fugitive, ma joie de vous recevoir en ces lieux est aussi grande que l'infini de l'espace...

    "Espace,frontière de l'infini vers lequel voyage notre vaisseau spatial.... BON SANG, KIRK, FERMEZ-LA, OU C'EST CE COMMENTAIRE QUI VA ËTRE INFINI!!!(dixit Bones McCoy)"

    Ceci pour vous préciser qu'effectivement, ce blog ressemble un peu à L'Enterprise en phase de maintenance, c'est pourquoi je vous prie humblement d'excuser ces quelques désagréments d'ordre logistique (dixit Scotty).

    EN AVANT, ET ALLONS WHERE NO MAN HAS GONE BEFORE!!!

    Captain James T. Kirk alias YRREIHT

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  5. "Pendant toute la journée d’automne, journée fuligineuse, sombre et muette, où les nuages pesaient lourd et bas dans le ciel, j’avais navigué à travers toute une étendue de sites web singulièrement lugubre et, enfin, comme les ombres du soir approchaient, je me trouvai en vue de la mélancolique Maison YRREIHT.

    Je ne sais comment cela se fit, mais, au premier clic de souris, un sentiment d’insondable joie pénétra mon âme. Je dis insondable, car cette joie était d'une essence poétique qui en faisait presque une volupté, celle dont l’âme est généralement saisie en face des images naturelles les plus somptueuses du fantastique et de la terreur.

    Je regardais le tableau placé devant moi et, rien qu’à voir la maison et la perspective caractéristique de ce domaine, les murs qui avaient froid, les fenêtres semblables à des yeux distraits, quelques bouquets de joncs vigoureux, quelques troncs d’arbres blancs et dépéris, j’éprouvais cet entier soulèvement d’âme, qui, parmi les sensations terrestres, ne peut se mieux comparer qu’à l'ivresse du mangeur d’opium, à son fascinant voyage hors de la vie journalière, à la fantastique et sublime traversée du Voile.

    C’était un feu au cœur, un titillement à l'âme, une extase, une incroyable ébullition de pensée qu’aucun aiguillon de l’imagination ne pouvait surpasser ni pousser plus loin. Qu’était donc — je m’arrêtai pour y penser — qu’était donc ce je ne sais quoi qui m’émerveillait ainsi en contemplant la Maison YRREIHT ?"

    J'espère que tu me pardonneras ce petit détournement des premières lignes d'un texte qui t'est sans doute cher, pour signaler ma présence aux portes de ta maison, cher Pendant toute la journée d’automne, journée fuligineuse, sombre et muette, où les nuages pesaient lourd et bas dans le ciel, j’avais traversé seul et à cheval une étendue de pays singulièrement lugubre et, enfin, comme les ombres du soir approchaient, je me trouvai en vue de la mélancolique Maison YRREIHT. Je ne sais comment cela se fit, mais, au premier clic de souris, un sentiment d’insondable joie pénétra mon âme. Je dis insondable, car cette joie était d'une essence poétique qui en faisait presque une volupté, celle dont l’âme est généralement saisie en face des images naturelles les plus somptueuses du fantastique et de la terreur. Je regardais le tableau placé devant moi et, rien qu’à voir la maison et la perspective caractéristique de ce domaine, les murs qui avaient froid, les fenêtres semblables à des yeux distraits, quelques bouquets de joncs vigoureux, quelques troncs d’arbres blancs et dépéris, j’éprouvais cet entier soulèvement d’âme, qui, parmi les sensations terrestres, ne peut se mieux comparer qu’à l'ivresse du mangeur d’opium, à son fascinant voyage hors de la vie journalière, à la fantastique et sublime traversée du Voile. C’était un feu au cœur, un titillement, une extase, une incroyable ébullition de pensée qu’aucun aiguillon de l’imagination ne pouvait surpasser ni pousser plus loin. Qu’était donc — je m’arrêtai pour y penser — qu’était donc ce je ne sais quoi qui m’émerveillait ainsi en contemplant la Maison YRREIHT ?

    J'espère que tu me pardonneras ce petit détournement des premières lignes d'un texte qui t'est sans doute cher, pour signaler ma présence aux portes de ta maison, cher Pendant toute la journée d’automne, journée fuligineuse, sombre et muette, où les nuages pesaient lourd et bas dans le ciel, j’avais traversé seul et à cheval une étendue de pays singulièrement lugubre et, enfin, comme les ombres du soir approchaient, je me trouvai en vue de la mélancolique Maison YRREIHT. Je ne sais comment cela se fit, mais, au premier clic de souris, un sentiment d’insondable joie pénétra mon âme. Je dis insondable, car cette joie était d'une essence poétique qui en faisait presque une volupté, celle dont l’âme est généralement saisie en face des images naturelles les plus somptueuses du fantastique et de la terreur. Je regardais le tableau placé devant moi et, rien qu’à voir la maison et la perspective caractéristique de ce domaine, les murs qui avaient froid, les fenêtres semblables à des yeux distraits, quelques bouquets de joncs vigoureux, quelques troncs d’arbres blancs et dépéris, j’éprouvais cet entier soulèvement d’âme, qui, parmi les sensations terrestres, ne peut se mieux comparer qu’à l'ivresse du mangeur d’opium, à son fascinant voyage hors de la vie journalière, à la fantastique et sublime traversée du Voile. C’était un feu au cœur, un titillement, une extase, une incroyable ébullition de pensée qu’aucun aiguillon de l’imagination ne pouvait surpasser ni pousser plus loin. Qu’était donc — je m’arrêtai pour y penser — qu’était donc ce je ne sais quoi qui m’émerveillait ainsi en contemplant la Maison YRREIHT ?

    J'espère que tu me pardonneras ce petit détournement des premières lignes d'un texte qui t'est sans doute cher, pour signaler ma présence aux portes de ta maison, cher YRREIHT.

    Toc toc, il y a quelqu'un?

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  6. CHER DEO,

    Votre venue en ces lieux comme invité prestigieux m'honore!!!

    Votre chaleureux commentaire évoque un onirisme fantastique auquel vous connaissez mon attachement.

    Prenez place, car la première séance est imminente, aussitôt que le projectionniste aura résolu les quelques soucis d'ordre purement logistique.

    Amitiés éternelles et fraternelles...

    YRREIHT

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  7. "Karloff, Cushing, Christopher Lee, Peter Lorre et Sunrise
    En ont fait trembler des salles à pas dix francs la place
    Toujours critiqués, jamais nominés
    Ironie, vous êtes aujourd'hui vénérés
    Ciné, rock et bandes dessinées
    Hé, ciné, rock et bandes dessinées (...)"
    Un refrain du grand m'sieur Eddy pour te souhaiter la bienvenue sur le net, Yrreiht. Ca y est, je suis bien installée, prête pour la première séance... Heureuse et impatiente !
    Chouette ambiance, décor magnifique : on va passer de bons moments ici ;)
    Les bougies s'allument déjà, et le film va commencer...
    Bises.
    Audrey.

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  8. MILLE MERCIS, chère Audrey...
    De tes encouragements, de ta présence et de tout ce qui fera que tu te sentes bien ici, c'est à dire comme chez toi!!!
    Le refrain magique de m'sieur Eddy est tout à fait approprié...

    Et comme il disait avant chaque "Dernière Séance": c'est parti!!!!

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