En ayant un grand frère cinéphile et un père qui était un temps projectionniste de cinéma, je suis, tel Obélix, tombé dans la marmite cinoche dès le plus jeune âge...
Et alors ? Pas de séance le week-end ? Le cinéma était-il fermé pour cause de gel ? Allons, réfléchissons, mon cher Yrreith... Que programmer un jour d'hiver si rude, sans neige encore mais d'eau glacée et d'implacable verglas ? Bien sûr, nous pourrions pousser la porte de la "shop around the corner", pour nous y réchauffer, ou nous réfugier dans le château d'Edward aux mains d'argent en attendant les premiers flocons... Ou suivre la brume que nous désigne "l'invitée de l'hiver" ? A moins qu'une autre proposition ne vous tente.
Effectivement, pour une séance dominicale, le choix était rude entre "L'espion qui venait du froid" de Martin Ritt et "L'espion qui venait du surgelé" avec notre cher Vincent Price.
Comme ces deux films crient "au génie", je n'ai pu me décider.
J'ai donc écouté toute la sainte journée Hugues Aufray (je plaisante, mais j'adore ce type, véritable troubadour de notre temps) en dégustant un Mr Freeze!!!
Mais je vous rassure, le prochain film, gelé (enfin, je veux dire, je l'ai!!!)
J'adore la bonne femme à gauche, qui vient jeter un œil sur ce qui se passe tandis que PICERNI prend la pose...
RépondreSupprimerEt alors ? Pas de séance le week-end ? Le cinéma était-il fermé pour cause de gel ? Allons, réfléchissons, mon cher Yrreith... Que programmer un jour d'hiver si rude, sans neige encore mais d'eau glacée et d'implacable verglas ? Bien sûr, nous pourrions pousser la porte de la "shop around the corner", pour nous y réchauffer, ou nous réfugier dans le château d'Edward aux mains d'argent en attendant les premiers flocons... Ou suivre la brume que nous désigne "l'invitée de l'hiver" ? A moins qu'une autre proposition ne vous tente.
RépondreSupprimerchère Fugitive,
RépondreSupprimerEffectivement, pour une séance dominicale, le choix était rude entre "L'espion qui venait du froid" de Martin Ritt et "L'espion qui venait du surgelé" avec notre cher Vincent Price.
Comme ces deux films crient "au génie", je n'ai pu me décider.
J'ai donc écouté toute la sainte journée Hugues Aufray (je plaisante, mais j'adore ce type, véritable troubadour de notre temps) en dégustant un Mr Freeze!!!
Mais je vous rassure, le prochain film, gelé (enfin, je veux dire, je l'ai!!!)
Et c'est tout de suite...
Chaleureuses Bises.
YRREIHT (près du feu)